Pas de chambre au seul hôtel du centre !
– Mardi 23/01/18 : Hier, à Orchha, nous avions téléphoné au seul hôtel du centre de Chanderi, le Sri Kunj, le gérant nous répond qu’il n’y a plus une seule chambre de libre ! Il nous conseille de téléphoner au « Amrae resort » à Pranpur, à 4kms de Chanderi… Ce que nous faisons et il nous est répondu qu’il ne reste qu’une seule chambre libre… étrange car ce n’est pas un endroit touristique ! Nous hésitons à partir là-bas, mais comme on nous avait dit tant de bien de cette petite ville, nous décidons quand même de tenter le coup et d’y aller… Nous décidons d’y aller en taxi.
D’Orchha à Chanderi en taxi
Il faut 2h30 de trajet pour rejoindre Chanderi en traversant un paysage de collines arides et desséchées alternant avec des espaces boisés, des villages et des champs verdoyants.
Communication difficile
Lorsque nous arrivons au « Amrae resort », le chauffeur de taxi peut nous traduire en anglais ce que dit le gars qui nous accueille et nous donne l’explication de ce mystère : Tous les hôtels du coin sont réservés par une équipe de Bollywood pour deux mois… Pas de chance pour nous !
En effet, il aurait été beaucoup plus agréable de résider au coeur de la petite ville de Chanderi pour pouvoir flâner tranquillement dans les rues et profiter de l’ambiance, comme nous aimons le faire…
Aucun moyen de locomotion entre Amrae resort et Chanderi !
Nous sommes complètement isolés à 4 kms du bourg, dans un endroit où il n’y a aucun moyen de locomotion. Pour rejoindre Chanderi, il faut faire du stop au bord de la route… Le gérant du resort n’est pas sur place, il y a juste le pauvre gars qui tient tout seul l’établissement. Le pauvre fait ce qu’il peut, il est très gentil et souriant… Mais il ne parle pas un mot d’anglais.
Difficile dans ces conditions d’avoir quelques renseignements.
Il faut faire du stop pour aller en ville !
Nous réussissons, après pas mal de temps, à arrêter un petit camion déjà bourré de monde dans lequel nous avons pu nous caser, et nous arrivons aux abords de la ville.
Ceux-ci sont peu engageants, tas de gravats, circulation intense, poussière, c’est plutôt un énorme capharnaüm comme beaucoup de villes indiennes…
Mais une fois passé la belle porte de Delhi,